La soumission de Sophie 03

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Ce récit est la suite de : La soumission de Sophie 2
il y a 3 ans

Ce roman BDSM de grande qualité sera posté en plusieurs chapitres.

Le début de ce roman est ici

  • Bien, tu auras également plus de travail tel que des corvées à faire, mais aussi plus de libertés que durant cette première semaine. La nuit tu continueras principalement à dormir à la cave, mais tu ne seras plus attachée au mur. Tu seras dans une cage dont la porte est contrôlée électroniquement. En temps normal, tu devras y être de minuit à 5h du matin. Si pour une raison ou une autre tu n’y es pas, tu seras évidemment punie. Pour des raisons de sécurité, la porte n’est pas verrouillée, mais si tu en sors de façon non autorisée, j’en serai avertie. Cela me permet de t’y enfermer pendant mon absence sans danger. Sachant cela, tu es libre de l’heure de ton réveil et l’heure à laquelle tu vas dormir. Sauf ordre contraire, tu es libre d’aller où tu veux dans la maison, sauf dans ma chambre évidemment. Tous les matins à 7h mon petit déjeuner doit être placé sur un plateau devant la porte. À 9h, tu dois être prête à partir. Tu es à nouveau libre de choisir ta tenue, mais tu as vu comment je souhaite qu’une soumise soit habillée. Tu n’as évidemment pas droit aux sous-vêtements et tu dois toujours être parfaitement épilée. Pour reprendre avec tes corvées, tu devras faire le ménage et préparer les repas tous les jours et faire la lessive au moins une fois par semaine. Je précise que pour le ménage, tu n’as le droit d’accéder à ma chambre que si je n’y suis pas et que la porte est ouverte. Tu te contentes de faire la poussière et de nettoyer. Tu n’ouvres aucune armoire, aucun tiroir. Après la lessive, tu ne ranges pas mon linge, tu le poses dans un bac devant ma chambre, ou dedans si la porte est ouverte. Tout compris ?

  • Oui Maîtresse Claire, je ne vous décevrai pas.

  • Finalement, si je suis dans ma chambre porte fermée et que tu as quelque chose à me demander, tu peux essayer de frapper doucement sans prendre le risque de me réveiller. Suis-moi maintenant, tu vas découvrir ta nouvelle maison.

A l’étage, il y a trois chambres en comptant celle de ma maîtresse. Une de celles-ci ressemble à une chambre tout ce qu’il y a de plus classique avec un lit, une petite armoire, une étagère et un miroir. La dernière chambre est quant à elle plus une cellule qu’une chambre. Aucun meuble, aucun miroir, juste un matelas épais d’un ou deux centimètres posé sur le sol. Ma maîtresse m’a rapidement expliqué qu’étant donné qu’elle vivait seule, la première chambre servait de chambre d’ami et la deuxième servait de chambre pour d’esclave si l’ami en question est dominant. Il y a encore une salle de bain en plus de celle liée à la chambre de ma maîtresse et un grand placard. En descendant, on arrive sur un grand salon équipé d’une grande télévision, de canapés en cuir et d’une table en verre. Elle semble aimer un style très moderne. Lors de la visite de la cuisine, elle ajoute :

  • Bien sûr, tu te chargeras également de la vaisselle et du rangement. Pour cela, tu es libre d’utiliser le lave-vaisselle. Par contre tout doit être rangé au même endroit que maintenant. Si j’ai besoin de quelque chose, je veux le trouver tout de suite et ne pas avoir à chercher.

  • Oui Maîtresse Claire, je comprends.

Nous repassons par le salon pour accéder à un couloir avec la salle de bains que je connais déjà, l’accès au garage et une buanderie. On descend une fois de plus des escaliers pour atteindre les caves, oui il y en a plusieurs. Il y a une cave avec tout ce qui doit être dans une cave, c’est-à-dire des cartons, différents objets, vieux meubles et autres. L’autre cave m’est présentée comme ma pièce. A l’entrée, on y trouve une belle quantité d’accessoires BDSM dont, entre autres, fouets, cravaches, baillons, godes, bougies et j’en passe. Il y a ensuite trois cages assez allongées et une plus verticale. Il y a également une sorte de table/lit. Je ne sais pas trop comment décrire cet objet, il fait environ 2m de long et 60cm de large, recouvert d’un matelas en plastique. Cela me rappelle les couchettes que l’on trouve chez le médecin. Finalement, je reste impressionnée devant le nombre de crochets qui sont fixés un peu partout, au plafond, au sol, contre les murs et sur les « meubles ». Elle ne va pas manquer de possibilités pour m’attacher en tout cas. Elle finit par me faire remarquer la présence d’un tuyau d’arrosage fixé à un robinet et ajoute :

  • Avec mon autorisation, tu pourras nettoyer ta pièce au jet d’eau. Je sais que cela sera difficile pour toi, mais essaies tout de même de soigner ta pièce puisque je ne te garantis pas que tu la nettoieras souvent.

  • Oui Maîtresse Claire, merci.

  • Durant ces prochaines semaines, je te l’ai dit, tu vas beaucoup souffrir. Toutes les cages sont équipées du système dont je t’ai parlé. Juste qu’à ce que je dise de changer, tu utiliseras celle qui a une forme verticale. Elle est trop serrée pour t’asseoir ou te coucher, mais pas assez haute pour tenir debout. Tu devras adopter une position accroupie pour la nuit. Tu auras certainement de la peine à dormir les premières nuits et mal aux jambes le lendemain, c’est l’effet désiré. Tu seras poussée à bout, mentalement et physiquement, comme la soumise que tu rêves de devenir.

  • Merci Maîtresse Claire.

  • Les autres cages me permettront de te fournir de la compagnie un jour peut-être. Ah et en parlant de compagnie, tu es autorisée à sortir le soir ou le weekend avec des amies, à condition bien sûr de respecter les horaires de verrouillage de la cage et de réaliser tes corvées. Tu devras m’en avertir au moins une semaine avant, avec l’heure exacte de départ et de retour ainsi que la liste des personnes qui seront avec toi et ce que vous allez faire. Si j’estime que la demande n’a pas été correctement réalisée, ou que ta condition ne te l’autorise pas, je me garde évidemment le droit de refuser.

  • Oui c’est normal Maîtresse Claire.

  • Pour terminer, avant de te laisser vaquer à tes occupations, je veux encore te dire qu’en plus de ces corvées, je vais contrôler tous tes résultats à l’université, donc tu dois t’y appliquer. Je ne veux pas d’une esclave médiocre.

  • Oui je vais m’y mettre de suite Maîtresse Claire.

Je pense qu’il est mieux que je me lance tout de suite dans mes cours, puis dans les corvées pour ne pas être prise par surprise par la quantité de travail à faire. Une fois que j’aurai pris un certain rythme, je verrai si j’arrive à me trouver du temps libre. En tout cas cela fait du bien de voir où je vis, c’était vraiment difficile d’être toujours aveuglée, et de voir que ma nouvelle maîtresse veut vraiment me pousser dans la vie sur laquelle je fantasmais il y encore que quelques jours.

Il m’a fallu environ deux heures pour préparer mes cours de la semaine. Ceci étant fait, je retrouve ma maîtresse au salon pour les lui faire contrôler. Quelques secondes après avoir pris les feuilles, elle les déchire en ajoutant :

  • Je n’ai pas envie de vérifier les résultats maintenant, recommence.

Choquée qu’elle n’a même pas regardé le résultat de mes heures de travail, je lui réponds avec peine :

  • Oui Maîtresse Claire, merci Maîtresse Claire.

Refaire les mêmes exercices me prend heureusement moins de temps. A peine finis, je les présente à nouveau à ma maîtresse. Après quelques minutes pour vérifier les résultats avec les réponses officielles, elle émet quand même une remarque :

  • Tu verras, avec tout ce travail, tes résultats vont ont être excellents dans chaque branche.

Elle finit par déchirer à nouveau les feuilles. Je reprends :

  • Mais non Maîtresse Claire, je dois conserver ces exercices pour préparer l’examen.

Je reçois une gifle en guise de punition.

  • Premièrement, tu ne me réponds pas. Tu les refais encore une fois, au moins tu t’en souviendras pendant les contrôles. Et tu reviens me les montrer quand tu as fini.

  • Oui merci Maîtresse Claire.

Je reprends une fois de plus la réalisation des exercices, ce qui m’occupe encore une petite demi-heure. Honnêtement, j’aurais pu la gifler lorsqu’elle a déchiré les exercices la deuxième fois. Mais je sais que c’est pour mon bien, je sais qu’elle tient à moi. De nouveau face à elle, elle me dit :

  • Tu sais que j’hésite à te les déchirer à nouveau juste pour que tu voies à quel point je peux être pénible.

J’ai d’abord pensé à la supplier, mais une meilleure réponse m’est venue à l’esprit :

  • Vous n’êtes pas pénible Maîtresse Claire, je sais que vous faites ça pour mon bien.

  • Disons que ta réponse t’a sauvée… Tu peux aller préparer à dîner je pense. Ah oui tu prépares bien sûr les repas pour deux personnes.

  • Qu’est-ce que vous désirez manger Maîtresse Claire ?

  • Tu prépares une salade, puis de la viande accompagnée de pâtes et en dessert une salade de fruits.

Je m’en vais ranger précieusement ces feuilles qui m’ont pris un temps fou à réaliser avant de passer à la cuisine pour la préparation du repas. Il me faut un certain temps pour trouver tous les ustensiles nécessaires. Mon premier repas pour ma maîtresse, il faut que je m’applique. Alors que la viande et les pâtes cuisent, je lave la salade et prépare rapidement une sauce. Je veille bien à ce que la viande ne grille pas trop et je commence à couper des fruits en morceaux. J’aurai du lui demander quel niveau de cuisson elle préférait pour sa viande, mais je n’ose pas y retourner maintenant. Je commence par lui amener un plat de salade et lui demande si je peux aller finir de préparer le plat principal. Quelques minutes plus tard, je lui amène le plat de viande et attends sa réponse qui ne se fait pas attendre :

  • Tu peux te mettre à quatre pattes à côté de moi pendant que je mange, tu mangeras ensuite.

  • Oui Maîtresse Claire.

  • Et garde les yeux au sol.

Alors que je patiente avec le regard au sol le temps qu’elle finisse de manger, je me permets de penser à mon avenir avec elle. Je ne comprends pas pourquoi je suis autant attachée à elle, mais je ne pourrais déjà plus vivre sans elle. J’ai l’impression que c’est la maîtresse dont j’ai toujours rêvé, celle qui me poussera au maximum. C’est comme si elle voyait mes fantasmes dans ma tête et qu’elle me les offrait. J’ai besoin de savoir que ce que je fais lui fait plaisir, de savoir que je le fais pour elle. Et la condition de soumise me va tellement bien, c’est tellement agréable de se laisser guider, de se laisser porter par une personne dominante. La douleur me fait du bien aussi. La seule chose qui me rend triste, c’est que je sais que si je suis punie, c’est parce que ma maîtresse est déçue.

Je réalise peu à peu qu’il m’arrive souvent de rêver éveillée de ma situation, de rêver d’elle. Je ne me connaissais pas avec un penchant pour les femmes, mais maintenant, cela ne me dérange plus vraiment. Surtout avec elle, elle est tellement belle, elle a une présence qui m’impose le respect et de l’amour pour elle. Après le repas, je lui demanderai si elle accepte que je lui fasse plaisir, plaisir sexuellement. Elle refusera certainement, mais je veux essayer. Je ne vais pas prétendre pouvoir l’embrasser, à mon niveau je n’ai pas accès à cela, c’est trop sentimental. Non, je veux juste lui donner du plaisir sexuellement, avec ma langue sur son sexe par exemple. Ce sera une première pour moi, elle me corrigera certainement afin que je m’améliore. Un jour, peut-être, j’aurais accès à son lit, et nous aurons des rapports sexuels complets, mais je m’égare.

Je ne sais pas combien de temps j’ai passé à rêvasser, mais elle me reprend :

  • Amène-moi le dessert.

  • Oui Maîtresse Claire.

Je repars dans la cuisine, et reviens avec les fruits. Je reprends immédiatement ma position à quatre pattes à ses côtés. Mes rêves reprennent aussitôt, et je suis étonnée de sentir qu’en mangeant, elle commence à me caresser le dos. Pas des caresses sensuelles non, mais plutôt des caresses d’affection. Ces gestes me donnent confiance et je me lance :

  • Excusez-moi Maîtresse Claire ?

  • Oui ?

  • J’aimerais savoir si… euh si je peux vous faire plaisir une fois que vous aurez fini de manger… euh plaisir de façon… sexuelle… Maîtresse Claire.

  • Quoi ? Comment ça me faire plaisir de façon sexuelle ?

  • Je pourrais vous faire plaisir avec… avec ma langue Maîtresse Claire.

  • Tu es vraiment une petite salope toi, tu me dis ça comme ça. Tu veux me faire un cunni c’est ça ?

  • Oui Maîtresse Claire, je suis désolée, je pensais que ça vous plairait. Excusez ma bêtise Maîtresse Claire.

  • Je n’ai pas dit non, je ne pensais simplement pas que tu serais prête à faire cela aussi vite.

  • Oui Maîtresse Claire, j’ai envie de tout faire pour votre plaisir.

  • Très bien, nous verrons dans un moment, je finis de manger et nous allons jouer un peu après.

  • Merci Maîtresse Claire.

Elle finit tranquillement son repas en regardant la télévision.

Cela fait déjà un moment qu’elle regarde la télévision tout en m’ignorant. Elle doit sentir mon stress et elle veut sûrement jouer à me laisser avec mes peurs un moment. Après environ une heure à quatre pattes à côté d’elle, elle reprend :

  • Tu as déjà eu une relation sexuelle avec une femme ?

  • Non Maîtresse Claire.

  • Pour la première fois, je te caresserai un peu avant, cela sera sans doute plus facile de t’exécuter si tu es excitée.

  • Merci Maîtresse Claire.

Après avoir sorti un gant en latex d’un tiroir, elle me demande de m’asseoir sur le canapé, dos contre elle, un peu allongée. Elle passe son bras par-dessus mon épaule, sa main gantée atteignant mon sexe. Elle commence à me caresser calmement et avec douceur le sexe, sans y entrer. Elle caresse aussi de temps en temps ma poitrine, me pince un peu les tétons puis retourne à mon sexe. Elle y rentre ses doigts pour y faire des allers-retours et me caresser, j’en tire rapidement un plaisir fou. Je me commence à me frotter à elle ce qui la stoppe net alors qu’elle ajoute :

  • Ne cherche pas plus de contact physique avec moi, je t’excite seulement, c’est tout ce que tu auras.

  • Je suis désolée Maîtresse Claire, c’est tellement bon, c’est tellement différent.

Je suis maintenant sûre que c’était elle qui m’avait caressée l’autre jour à la boutique, le même style, les mêmes gestes, précis et doux, qui me procurent un plaisir fantastique. Malheureusement, maintenant que je suis bien excitée, c’est fini pour moi. Elle me demande de lui lécher le gant qu’elle a utilisé pour découvrir le goût d’une femme. C’est particulièrement difficile de décrire ce goût, c’est un goût de sexe. Elle continue par me demander de me mettre à genoux par terre devant elle. Elle remonte un peu sa jupe et retire son string. Elle passe une jambe de chaque côté de mon corps et les resserre en poussant mon visage contre son sexe. Je commence à m’exécuter, je lui lèche son sexe gentiment, en utilisant ma langue pour la pénétrer un tout petit peu. J’alterne aussi en lui pinçant très légèrement le sexe avec mes dents et en suçant doucement ses lèvres. Je m’occupe aussi en alternance un peu de ses lèvres et de l’intérieur de son sexe. Elle n’a pas l’air d’y prendre beaucoup de plaisir. Je décide de glisser ma main contre son corps pour la caresser un peu, ça aidera peut-être. A peine je fais entrer ma main dans son chemisier pour atteindre son dos, elle me dit en me retirant la main :

  • Enlève immédiatement ta main de là !

  • Je suis désolée Maîtresse Claire, je voulais juste vous caresser un peu.

  • Je t’ai pas demandé de me caresser le dos ! Concentres-toi déjà sur ta langue ça serait bien.

  • Oui Maîtresse Claire, peut-être vous souhaiteriez retirer vos vêtements pour être plus à l’aise ?

  • C’est bon j’en ai marre, j’ai plus envie. Tu m’énerves.

Elle se lève en rebaissant sa jupe. Elle prend son string et le met dans ma bouche. Ça me dégoûte un peu, elle l’a porté toute la journée et son goût est très prononcé. Elle s’absente en me demandant de ne pas bouger et revient quelques minutes plus tard. Elle arrive avec un gros rouleau de ruban adhésif qu’elle utilise pour bien bloquer son string dans ma bouche. Avant de partir, elle ajoute :

  • Tu vas garder ça un bon moment, ça t’apprendras à parler tout le temps.

Il ne faut que quelques secondes pour qu’elle disparaisse et que j’entende la porte de sa chambre claquer. Je n’ai absolument rien compris à ce qui vient de se passer mis à part que je me retrouve avec une maîtresse déçue et énervée, et avec un string avec un sale goût dans la bouche. En attendant qu’elle ressorte, je profite pour mettre à laver les assiettes et services utilisés et je range la cuisine. Tant qu’à faire, autant commencer à faire un peu de ménage aussi dans le salon et la cuisine.

Une heure plus tard, elle ressort de sa chambre. Elle vient vers moi comme si de rien n’était et me demande si j’ai faim. Je ne peux qu’acquiescer de la tête avec mon bâillon artisanal. Elle me sort une boîte du réfrigérateur contenant du riz et me le déverse dans une gamelle. La viande et les pâtes de ce soir remplacent quant à eux le riz dans la boîte qui repart au froid. Me voyant faire une tête étonnée, elle me retire mon bâillon et dit :

  • Tu ne croyais quand même pas que tu allais manger comme moi ?

  • Non Maîtresse Claire.

Elle se contente de casser les gros « morceaux » de riz et pose la gamelle sur le sol dans un coin de la cuisine. Elle ajoute :

  • Tu mangeras toujours ce que je te donne, dans une gamelle. Il faut que tu t’habitues à être traitée comme un animal.

  • Oui Maîtresse Claire.

  • Et tant que tu n’auras pas fini ta gamelle, tu n’auras rien d’autre, donc pas la peine de te dire qu’il te suffit de sauter un repas si tu n’aimes pas.

  • Oui je comprends Maîtresse Claire. Merci Maîtresse Claire de m’éduquer.

Elle retourne au salon en me laissant là, devant ma gamelle. J’approche ma tête de la gamelle, essaie d’attr a p e r un peu de riz avec ma langue et j’avale. Je pense que je vais laisser mon repas se réchauffer à température ambiante, ce sera toujours mieux que le froid du réfrigérateur.

Je la rejoins au salon et, en me voyant, elle me dit qu’elle a une surprise pour moi. Elle pose son ordinateur sur la table, ouvre son dernier message et ajoute :

  • Cela devrait te faire plaisir après ce que tu as subi aujourd’hui. La gérante de la boutique m’a envoyé une vidéo d’excuse de sa soumise.

  • Merci Maîtresse Claire.

Elle lance la vidéo que était attachée au message. Elle démarre immédiatement sur le visage d’Alicia (qui m’avait t o r t u r é e à midi à la boutique). Elle était couchée sur le ventre sur une grande table. On entend le coup de canne qu’elle reçoit sur son dos et ajoute :

  • Un. Merci ma Reine, je m’excuse Sophie. Deux. Merci ma Reine, je m’excuse Sophie. Trois. Merci ma Reine, je m’excuse Sophie.

La punition a duré un bon moment, jusqu’à 20 coups. Alicia est en larmes, depuis un moment déjà d’ailleurs. Une fois ce nombre atteint, on entend une deuxième voix, celle de la gérante de la boutique si je ne me trompe pas, dire :

  • Tournes-toi sur le dos !

  • Oui ma Reine.

Pendant qu’elle se tourne, j’aperçois que la table sur laquelle elle se couche est couverte de petits pics. Elle se recouche de façon très lente, en essayant certainement de minimiser la douleur infligée par les pics. On peut voir quelques gouttes de s a n g apparaître sur son ventre et sa poitrine. Les coups recommencent, mais cette fois c’est le fouet :

  • Un. Merci ma Reine, je m’excuse Sophie. Deux. Merci ma Reine, je m’excuse Sophie. Trois. Merci ma Reine, je m’excuse Sophie.

J’ai la larme à l’œil de la voir souffrir autant. Ma maîtresse le remarque et me dit :

  • Qu’est-ce qu’il y a, pourquoi tu pleures ?

  • Je n’ai de loin pas autant souffert qu’elle Maîtresse Claire.

  • Toi tu es débutante, elle n’aurait jamais dû te punir, surtout pas aussi v i o l e m m e n t. Elle est plus expérimentée, la punition est donc plus importante. Si tu continues ta formation avec moi, tu apprendras à vivre bien pire que ça.

Une fois arrivé à 20 coups, le compte s’arrête. Alicia reste sans bouger sur la table, à bout de f o r c e s je suppose. La caméra se tourne vers la maîtresse et elle conclue en disant :

  • Claire, je suis sincèrement désolée du traitement que mon esclave a infligé à la tienne. Je ne l’avais pas prévu et je ne me pensais pas qu’elle se comporterait ainsi, surtout avec une débutante. En espérant que tu nous excuses.

La vidéo s’arrête là. Ma maîtresse ajoute :

  • J’ai déjà répondu qu’elles étaient excusées. J’espère que tu es réconfortée et surtout que cela restera dans tes souvenirs. Je n’ai vraiment pas envie un jour de devoir m’excuser de cette façon auprès d’une autre dominatrice et je pense que toi non plus. C’est douloureux pour l’esclave et humiliant pour la maîtresse.

  • Merci pour cet exemple Maîtresse Claire, j’espère aussi ne jamais vous décevoir.

  • Cette vidéo me donne des envies, je vais me caresser. Je ne peux que te conseiller de rester et regarder, en silence, afin d’apprendre à mieux t’occuper de mon sexe la prochaine fois.

Elle commence à se caresser, lentement et calmement. Son excitation monte vite, très vite. D’une main elle prend ma tête et l’approche de son sexe tout en continuant à se caresser avec l’autre. Mon visage est à deux ou trois centimètre de son sexe et elle commence à crier :

  • Sens mon intimité, sens mon sexe. Oh oui, comme ça c’est bon tu sens. Oh ouiiiii c’est tellement bon, sens mon odeur !

D’un coup elle retire sa main et tire ma tête contre elle à tel point que mon nez se retrouve à l’intérieur de son sexe. Elle jouit dans cette position et me maintient comme ça une trentaine de secondes. Elle finit par frotter mon visage contre son sexe avant de me rejeter en poussant ma tête vers l’arrière alors qu’elle s’étale sur le canapé. Elle a dû rester assoupie dans cette position une dizaine de minutes durant lesquelles je suis restée à ses pieds, ne sachant pas trop quoi faire. A son « réveil », elle me dit :

  • Tu es encore là ? Tu n’as pas assez de travail ?

  • Je suis désolée Maîtresse Claire, je ne savais pas si vous souhaitiez que je reste à vos pieds.

  • Bon, je vais profiter pour te présenter de façon plus détaillée la cage où tu vas pouvoir dormir lorsque tu ne reçois pas de consignes particulières.

Elle se lève et se dirige vers la cave, je la suis bien évidemment. Une fois descendues, elle me rappelle :

  • Cette cage m’a coûté une fortune, mais je pense que cela en valait la peine. C’est un bijou de domination psychologique. Je peux définir sur mon ordinateur les heures durant lesquelles tu dois y être. Pour le moment, c’est de minuit à 5h du matin, comme je te l’ai dit auparavant. Comme tu peux le constater, au bout du câble il y a un gode qui devra toujours être dans ton sexe quand tu seras dans la cage. Il te servira entre autre de réveil à l’heure que tu définiras. Si tu n’es pas dans la cage ou que tu retires le gode durant les heures où tu es sensée y rester, j’aurais un message sur mon ordinateur m’en avertissant et tu seras punie. Tu as tout compris ?

  • Oui Maîtresse Claire.

  • Bon, je pense que tu as de quoi t’occuper, le ménage ou autre. Moi je vais prendre un bain, cela me fera du bien. Et j’oubliais, tu me demandes pour aller faire tes besoins et tu me demandes pour aller te laver, tu ne prends bien sûr pas d’initiative qui te vaudrait une punition.

  • Non Maîtresse Claire.

Et à ce moment je vois une opportunité de corriger mon défaut d’il y a quelques heures où je n’ai pas su lui donner du plaisir :

  • Maîtresse Claire, je pourrais vous masser dans votre bain, si vous le souhaitez bien sûr.

  • Tu ne penses pas qu’une esclave va me toucher alors que je serais sortie d’un bain ?

  • Non Maîtresse Claire, excusez-moi, mais je peux vous masser le dos avant votre bain, ou vous habiller ensuite Maîtresse Claire.

  • Tu veux vraiment m’énerver aujourd’hui. Tu ne me verras jamais nue POINT. Du coup, je te laisse réfléchir par toi-même si c’est utile de gaspiller mon temps l’avenir pour me demander ce genre de chose.

  • Oui Maîtresse Claire, je suis sincèrement désolée, je ne souhaitais pas vous énerver.

Sans rien dire, elle me tourne le dos et s’en va. C’est vrai que pour ma part j’ai encore pas mal de travail, surtout au niveau du ménage. Alors qu’elle doit être paisiblement en train de profiter de son bain, elle a une esclave qui lui nettoie sa maison sans même en profiter, puisque elle vit à la cave.

Hier soir, j’ai fini le ménage tard et sans faire la chambre de ma maîtresse puisque sa porte était fermée. Bien qu’elle ne soit pas dedans, je respecte sa consigne d’y entrer uniquement si la porte est ouverte. Je suis allée me coucher, ou je vais plutôt dire je suis allée dormir, un peu après 23h. Ma maîtresse n’était pas encore couchée. Enfin, oui elle était couchée, mais sur le canapé. Une fois à la cave, je suis entrée dans ma cage et j’ai essayé d’y trouver une position supportable pour la nuit. Elle est trop basse pour me mettre débout, et pas assez large pour me mettre assise. De plus, les barres sont trop rapprochées pour pouvoir sortir un bras ou une jambe. Je devrai donc passer la nuit accroupie, comme elle l’avait prévu. Pour le premier jour où je décide l’heure de mon réveil, j’ai préféré le fixer le plus tôt possible afin d’être sûre de ne pas décevoir ma maîtresse. Je l’ai donc fixé à 5h. J’ai sucé un peu le gode, mon réveil, pour le lubrifier. Je n’étais pas excitée et j’ai préféré ne pas prendre l’initiative de me caresser. Après l’avoir inséré je n’ai pas tardé à m’endormir, ou plutôt à somnoler.

Je suis réveillée de façon immédiate, sans comprendre pourquoi dans un premier temps. Quelques secondes plus tard, une décharge dans mon sexe me fait sursauter et me ramène à la réalité. Je comprends mon réveil soudain. Je me dépêche de retirer l’engin de mon sexe avant qu’il n’ait le temps de m’en donner une troisième. A peine sortie de la cage, je découvre ce que la position de la nuit à infligé à mes jambes. Les muscles de mes cuisses sont très douloureux, j’ai de la peine à tendre les gens. Je marques quelques minutes dans la cave, ou je boîte devrai-je dire, et me dirige finalement vers l’entrée de la cave. Je monte les escaliers et je me retrouve dans le couloir. Il fait nuit noire dehors, logique puisqu’il est 5h du matin. Je me rends dans la cuisine où je remarque que je n’ai pas fait la vaisselle hier. Je commence par vider la machine, ce qui m’occupe déjà un moment puisque je dois chercher où vont les services et ustensiles. Je peux ensuite remplir la machine avec la vaisselle d’hier et quelques articles supplémentaires, comme un verre de vin par exemple. Apparemment elle est restée un moment hier soir après que je suis partie. Je constate qu’il y a un mot affiché sur le réfrigérateur :

  • Nettoyer chaussures devant la porte bouche + langue et attendre avec petit-déjeuner devant porte chambre. Claire.

Bon, je sais au moins comment m’occuper jusqu’à son réveil. Ne sachant pas trop à quelle heure ça sera, je commence par lui préparer un plateau pour son petit-déjeuner. Des tartines, un fruit et un verre de jus d’orange. Je monte avec le plateau devant sa chambre et je découvre la suite de mon travail. Il y a une dizaine de paires de chaussures posées là. Certaines sont très sales alors que d’autres semblent déjà propres.

Je décide de commencer par celles qui semblent les moins propres, je pense que cela se remarquera moins si je n’ai pas le temps de finir avec celles qui sont déjà dans un bon état. La première est une paire d’escarpins noirs à talon assez large, d’une hauteur de deux ou trois centimètres. Il y a un peu de terre dessus. Je commence par lécher le dessus, j’appuie légèrement avec mes dents si cela ne part pas bien. Je me charge ensuite du dessous de la chaussure et du talon. Cela me prend environ cinq minutes par paire. Après chaque paire, je me « nettoie » la langue avec la main que j’essuie ensuite sur mon corps. Les bottes demandent plus de temps puisque que je m’applique à bien les nettoyer sur toute la hauteur. Il y a une grande partie des chaussures qui ont un talon aiguille très haut, d’au moins une dizaine de centimètres.

Lorsque je m’attaque aux paires les plus propres, deux paires d’escarpins et une paire de bottes, je constate qu’elles sont rouges en dessous. Je regarde l’intérieur, mes soupçons sont confirmés. Je vois l’inscription « Louboutin Paris ». Cela ne m’étonne pas qu’elles soient très propres, ce sont des chaussures de rêve, elles coûtent une fortune. Je reprends les autres paires pour regarder les marques, et j’y trouve du « Jimmy Choo », du « Manolo Blahnik »… Je me demande où elle trouve tout cet argent, la maison en elle-même est gigantesque aussi. Je commence à prendre peur d’abîmer ses chaussures et en même temps, je m’estime étrangement un peu chanceuse de pouvoir nettoyer de telles chaussures avec ma langue. Je fais de mon mieux avec chacune d’elles, j’ai envie qu’elles soient parfaites pour ma maîtresse.

Une fois ma tâche terminée, je reste devant la porte, comme demandé. Il n’est que 8h et je ne sais pas à quelle heure elle va se réveiller ou combien de temps je vais devoir attendre assise sur le sol. Je profite de mon attente pour vérifier les chaussures sous chaque angle afin d’être sûre qu’elle ne pourra rien me reprocher. J’ai envie qu’elle soit fière de moi, qu’elle sache qu’elle peut me faire confiance. Après un certain temps d’attente, il doit être environ 8h30, je commence à entendre du bruit. Elle est sans doute en train de se préparer. La porte finit par s’ouvrir après un bon moment et elle apparaît, debout, face à moi. Elle est habillée de façon élégante, maquillée et coiffée. Elle me regarde et ajoute :

  • Ah oui, j’avais oublié le petit-déjeuner. Bon je pars, laisse-le à la cuisine, je m’en occuperai plus tard.

Elle prend une paire de chaussure qu’elle enfile et reste face à moi, à réfléchir. Après quelques secondes, elle reprend :

  • Ne bouge pas, je vais chercher un peu de matériel pour t’occuper durant mon absence.

Quelques minutes plus tard, je l’entends m’appeler depuis en bas. Je la rejoins dans la salle de bain. Elle porte des gants de ménage en caoutchouc avec quelques strings dans la main. Elle me demande de m’approcher et m’indique la cuvette des toilettes. L’eau est colorée par son urine, bien dorée. Elle plonge sa main avec ses strings dans la cuvette et s’assure qu’ils trempent bien dans le liquide tout en m’expliquant :

  • Tu vas déguster les sous-vêtements que j’ai utilisés ces derniers jours pendant mon absence. Tu peux considérer ça comme une préparation aux dures semaines qui vont venir. C’est à ce genre de choses dont tu rêvais pour ta vie de soumise non ? Approche-toi, je vais les sortir de là, il ne faudra pas en perdre une goutte.

A peine ma bouche ouverte, elle commence à les faire entrer un par un. A peine terminé, elle en profite pour essuyer ses gants contre mon visage avant de les retirer. Elle utilise le gros rouleau de ruban adhésif pour s’assurer que tout reste bien en place. Cela me dégoûte de savoir que j’ai ses sous-vêtements sales dans la bouche, surtout que je suis f o r c é e d’avaler le surplus de liquide qu’ils dégagent, mais le goût n’est pas vraiment dérangeant, c’est surtout salé. Et je dois avouer qu’elle m’a bien cernée, c’est également sur ce genre de choses que je fantasmais avant de la rencontrer. Elle continue en me mettant des attaches aux mains et un collier bien serré, pour que ce soit « suffisamment » désagréable pour utiliser ses mots. Elle pousse ma tête dans la cuvette et fixe le tout avec une petite chaîne qui passe dans un anneau à l’arrière de mon collier et qui relie mes mains derrière la cuvette. Elle reprend :

  • Je ne sais pas si je rentre avant ce soir, je t’ai donc attachée avec un cadenas en plastique. Si tu as un problème grave, il te suffira de tirer un coup sec et tu seras libre. Mais fais tout de même attention à ne pas trop bouger sinon il cassera et tu seras punie. Bon j’y vais, amuse-toi bien.

Alors que je l’entends s’éloigner, je comprends peu à peu que je vais devoir rester des heures comme ça. Bien que le goût ne me semblait pas trop désagréable, le fait de l’associer à la vue et à l’odeur permanente de l’urine change la situation. J’espère qu’elle ne tardera pas trop à rentrer et à me libérer. Ma nouvelle vie est choquante, passer des heures la tête dans les toilettes avec l’urine et les sous-vêtements d’une autre femme dans ma bouche, je me choque moi-même, mais en même temps je ne pense plus pouvoir vivre sans. J’ai rêvé et fantasmé de ce genre de choses pendant tant d’années que maintenant que cela se réalise, cela ne me dérange pas que ça aille vite. J’aime me sentir autant dans le besoin de faire plaisir à l’autre, sans rien y gagner, sans rien recevoir en retour, ni même des remerciements ou de la politesse. J’aime me sentir moins que rien, mais auprès d’une personne qui pour moi représente plus que tout, et je ne comprends pas pourquoi.

Je ne sais pas combien de temps ont duré mes petites réflexions, probablement plusieurs heures puisque ma maîtresse est de retour. Elle se retrouve à mes côtés quelques minutes plus tard et me dit :

  • Tu sais, je me dis parfois que je t’envie. Tu as une maîtresse qui s’occupe bien de toi, en qui tu peux avoir confiance et qui s’applique à te donner ce dont tu rêves. Tu aurais pu tomber sur n’importe quelle malade qui aurait profité de toi pour te t o r t u r e r, te v i o l e r ou même te vendre. Avec moi, tu es toujours libre de tout arrêter, cela reste un choix. Mais mon jalousie disparaît vite quand je te vois. Il faut vraiment avoir un problème pour vivre ça, surtout de son plein gré. Sérieusement, tu réalises que tu as la tête dans mes toilettes avec mon urine dans ma bouche, et que je te fais souffrir dès que ça m’amuse. Sans parler du fait que je t’utilise comme femme de ménage, le tout sans avoir besoin de te payer, comme prostituée aussi pour me donner du plaisir. Et toi, tu en tires quoi ? Des insultes, des coups, des punitions… Tu es mal nourrie, humiliée en public, tu dors dans une cage, tu n’as pas l’impression d’avoir un problème ?

Ne voyant pas de réaction de ma part, elle reprend :

  • Non mais sérieusement, tu t’es jamais demandée ce qui n’allait pas chez toi ? Faut être complètement malade pour vouloir subir des choses comme ça.

Après ces remarques supplémentaires, je craque et je commence à pleurer. Je pense qu’elle a dû avoir la réaction qu’elle recherchait parce qu’elle m’a détachée, enlevé mon bâillon et elle ajoute :

  • Ah enfin, j’aurai quand même réussi à te faire craquer. Je suis heureuse d’enfin voir que tu n’es pas vide dans ta tête, que tu as quand même des émotions et des pensées.

  • Je vous aime Maîtresse Claire, je sais que cela fait pas longtemps que nous sommes ensemble et je suis incapable de me l’expliquer, mais je vous aime et je ferai tout pour vous.

A ce moment, avant même qu’elle réponde, je baisse ma tête dans la cuvette et trempe la quasi-intégralité de mes cheveux dans son urine. A peine ma tête relevée avec mes cheveux tout mouillés, j’ajoute :

  • Je vous fais confiance et je sais que vous ne me ferez pas de mal. C’est pour cette raison que je vous suivrai toujours, que vous pourrez faire de moi ce que vous voudrez Maîtresse Claire. Si vous le souhaitez, je peux garder mes cheveux avec votre urine le temps que vous déciderez.

Un sourire de satisfaction mêlé à un peu d’étonnement, apparaît sur son visage. Elle reprend :

  • Mémorise bien ce moment parce que je ne vais pas te le dire souvent, mais je t’admire pour ça. Je trouve que tu es une très bonne soumise, la meilleure dont j’aurai pu rêver. Et je commence aussi à développer des sentiments forts pour toi. Comme ce soir, il va m’arriver de jouer avec toi psychologiquement, pas seulement physiquement. Quant à tes cheveux, je prends note mais pas pour ce soir, je t’ai prévu un peu de repos avant les semaines qui arrivent. Suis-moi, tu vas te laver. Prends juste ce shampoing et ce produit de douche.

Une fois sorties, je la suis jusqu’à la cave. Elle me demande de me mettre dans un des coins, saisit le tuyau et commence à m’asperger d’eau glacée. Après un cri à cause du froid j’ajoute :

  • C’est gelé Maîtresse Claire.

  • Plus tu fais vite, moins tu as à subir. Ne prend pas ça pour une punition, ce n’est pas le cas. En tant que soumise tu seras toujours lavée ainsi.

Après m’être assez bien nettoyée, j’arrête de me frotter et ma maîtresse demande :

  • Tu as fini, je peux arrêter ?

  • Oui Maîtresse Claire, merci.

  • Il faudra aussi à l’occasion que tu donnes un coup de nettoyage ici, ça fait un moment que ça n’a pas été fait.

  • Oui Maîtresse Claire.

Une fois l’eau arrêtée, elle constate que je tremble tellement j’ai froid. Elle ajoute :

  • Tu peux te mettre en boule pour te réchauffer si tu veux, mais n’espère pas autre chose.

Je me mets accroupie sur le sol, froid lui aussi, en serrant mes bras et mes jambes contre mon corps. Elle quitte la cave en me disant qu’elle reviendra me voir dans un moment.

Une demi-heure plus tard, elle réapparaît. Elle s’est changée, elle porte une belle robe mettant bien en valeur sa silhouette parfaite et s’est remaquillée. Magnifique, comme à son habitude. Elle me regarde avec un grand sourire. C’est soit un très bon signe, soit un très mauvais signe. Elle me dit :

  • Je t’invite au restaurant ce soir ma chérie. Comme je te l’ai dit, je suis très fière de toi et touchée de tes sentiments envers moi. Tu me sembles vraiment être une soumise de rêve et j’ai envie de te récompenser. Et j’avoue que c’est aussi un peu pour m’excuser de t’avoir poussée à bout.

  • Merci Maîtresse Claire.

  • Je t’ai préparé des vêtements et des chaussures devant l’entrée, ils devraient te plaire. Tu peux ensuite aller te préparer dans la salle de bain. Tu peux utiliser les produits que tu souhaites. Sois séduisante, ne fais pas dans le vulgaire, ce n’est pas le but.

  • Oui Maîtresse Claire.

A peine sortie de la cave, je trouve une jolie robe noire et des chaussures à talons. Le haut de la robe est assez décolleté, mais pas trop, dos ouvert. A peine enfilée, je me sens comme si j’étais une autre, une personne de « haut rang ». Les chaussures accentuent encore plus cet effet. Le talon n’est pas aussi haut que celui des bottes que je portais à l’université, je peux marcher avec beaucoup plus de facilité. Je commence par me brosser les dents pour essayer d’enlever le goût d’urine du bâillon de la journée. Je termine ma préparation en me lissant les cheveux et en me maquillant, puis je retrouve ma maîtresse. Je pensais être belle ce soir, mais ce n’est rien comparé à elle. Je me permets de la remercier pour cette soirée et pour tout le reste, et elle ajoute :

  • Tu as besoin d’un petit remontant avant la semaine qui vient. On pourra parler en chemin, il faut qu’on parte, il est déjà tard.

Une fois dans le garage, je remarque que pour la première fois je ne porte pas mes lentilles aveuglantes. Je me permets la question :

  • Maîtresse Claire, est-ce que vous souhaitez que je porte mes lentilles ?

  • T’es vraiment la soumise parfaite toi. Non c’est bon, tu peux voir le quartier maintenant.

  • Merci de votre confiance Maîtresse Claire.

Une fois la porte du garage ouverte, on prend la route et je peux regarder l’environnement où habite ma maîtresse, où nous habitons. Il n’y a que des maisons dans le quartier, aucun immeuble, aucune boutique. Les maisons sont assez éloignées les unes des autres, ça change de la ville. Le village se termine rapidement et il n’y a plus grand-chose à voir.

Après un moment de route, nous arrivons dans une ville plus grande. Nous nous garons sur une place à côté d’un restaurant qui semble assez chic. Une fois à l’entrée, le côté luxueux du restaurant est confirmé par le serveur qui nous accueille :

  • Bonsoir Mesdames, bienvenue au restaurant Beaumont, une table pour deux personnes ?

  • Oui s’il vous plait.

  • Suivez-moi Mesdames.

Une fois à notre table, on nous amène une carte d’apéritifs avec des prix particulièrement hauts. Les quelques bougies qui décorent le centre de la table ajoutent un côté romantique à la soirée. Je lui fais remarquer les prix et elle me répond de choisir ce qui me fait plaisir, sans me poser de questions. Je lui demande quand même :

  • Maîtresse Claire, puis-je vous poser une question un peu personnelle s’il vous plait ?

  • Essaie toujours, je ne répondrai peut-être pas.

  • Je ne sais pas trop comment dire, mais vous êtes jeune, vous avez une grande maison, avec beaucoup d’équipements, et je sais que ces choses coûtent cher. Votre garde-robe est magnifique aussi, et j’ai vu que certaines de vos chaussures et leurs marques…

  • Et tu te demandes d’où vient l’argent je suppose ?

  • Oui Maîtresse Claire, je suis désolée.

  • Il n’y a pas de secret à ce sujet. Mes parents étaient assez fortunés et, lorsque j’ai hérité, j’ai placé l’argent dans plusieurs investissements qui ont très bien fonctionné.

  • Mais pourquoi êtes-vous professeure Maîtresse Claire ?

  • J’ai été éduquée à ne pas rester à ne rien faire, cela me semble normal de travailler. De plus, j’aime la gestion d’entreprise, mais cela prend trop de temps. J’ai donc décidé de l’enseigner.

  • Je suis désolée d’être autant curieuse Maîtresse Claire.

  • Tu as le droit de savoir, surtout si nous continuons à construire cette relation.

Le succulent repas se déroule dans le calme, nous discutons toutes les deux de choses et d’autres, j’en oublierais presque que je suis sa soumise si je n’avais pas à l’appeler « Maîtresse Claire ». Après avoir dégusté un fabuleux dessert au chocolat, ma maîtresse reprend :

  • Tu t’es brossée les dents avant de partir ?

  • Oui Maîtresse Claire, bien sûr.

  • Approche-toi de moi.

Je déplace ma chaise doucement pour m’approcher d’elle et, lorsque je suis assez près, elle prend ma tête avec sa main pour la tirer contre elle et commence à m’embrasser avec passion. C’est le plus beau moment de ma vie, c’est tellement bon. Ça me procure un plaisir fou, je ne comprends pas. Je suis tellement accro à elle, je l’aime tellement, c’est comme si j’obtenais un plaisir que j’attendais depuis des années. Ce n’est pas la première fois que j’embrasse quelqu’un, mais une femme oui. Je ne sais pas si c’est aussi bon parce que c’est une femme, parce qu’elle s’y prend à merveille ou parce que je la vois comme une déesse, mais je profite de ce moment incroyable. J’ai l’impression d’être dans une autre vie, d’être dans un rêve, de me laisser guider vers un plaisir intérieur qui n’a jamais été autant intense. Cela fini malheureusement par s’arrêter, trop vite à mon goût, mais je pense que ça a dû durer au moins une trentaine de secondes.

Il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits, et je constate que les gens des tables voisines nous observent, sans même essayer d’être discrets. Leur regard montre parfois de l’étonnement, du rejet, mais parfois aussi une sorte d’envie (surtout de la part de certains hommes qui nous observaient déjà avant ce baiser). Ma maîtresse appelle un serveur et demande l’addition. Je reste silencieuse, toujours à moitié en transe. J’ai encore l’impression de sentir son goût, ou son parfum, je ne suis pas sure, dans ma bouche. En nous levant pour partir, je la remercie :

  • Merci Maîtresse Claire pour cette soirée inoubliable, pour ce merveilleux repas et surtout cet incroyable baiser, je n’ai jamais rien ressenti d’aussi bon Maîtresse Claire.

  • Puisque tu sembles vouée à devenir mon esclave à long terme, je souhaitais te montrer un autre aspect de la vie avec moi. Tu n’en profiteras pas souvent, mais parfois tout de même.

C’est égoïste, mais j’ai l’impression de ne plus vouloir être sa soumise, mais de devenir son amante, sa partenaire. Je ne comprenais pas comment je pouvais autant l’aimer aussi rapidement, et ce baiser n’a fait qu’accentuer l’amour que je lui voue, et probablement ma dévotion pour elle. Peut-être un jour, elle m’offrira la chance de passer ma vie à ses côtés au lieu d’être à ses pieds.

Une fois rentrées, je n’oublie pas de la remercier une fois de plus et nous nous séparons. Je la vois s’éloigner, magnifique, marchant parfaitement avec ses talons vertigineux. Après m’être démaquillée et préparée pour aller dormir, je la cherche pour lui souhaiter une bonne nuit. Elle est déjà dans sa chambre, je préfère ne pas la déranger et me rends dans la mienne, la cave. Je rentre dans ma cage, reprends ma position accroupie et enfile le gode dans mon sexe, et me prépare à mon prochain réveil qui sera tout aussi soudain que celui de ce matin. Malgré l’inconfort, je m’endors rapidement en pensant à cette belle soirée que je viens de passer.

Après mon réveil le lendemain, je me rends à la cuisine et trouve un mot sur le petit-déjeuner que j’avais préparé pour ma maîtresse hier :

  • Voilà ton petit-déjeuner, je l’ai adapté à ta condition. N’oublie pas le mien.

Le pain a bien séché, il est devenu bien dur. Elle y a sûrement ajouté du sel vu le goût de la confiture. Bon, ce n’est pas grave, j’ai connu pire. Je mange en vitesse, prépare son repas à elle et l’attends à sa porte. On retrouve les bonnes habitudes, tenues choisies, maquillage limité, et une nouvelle semaine de cours commence.

Quelques semaines passent, une certaine habitude s’installe, jusqu’à ce que nous arrivions à ce vendredi. Comme d’habitude, je rejoins ma maîtresse à son véhicule après les cours mais ce soir, c’est différent, nous ne rentrons pas à la maison. Elle me dit :

  • Tu sais, tu es en période d’évaluation. J’ai certaines attentes vis-à-vis d’une soumise et je me suis peut-être trop vite attachée à toi. Pendant les cinq prochaines semaines, le weekend, tu passeras des évaluations de souffrance. Ce n’est pas une punition, il n’y a aucun lien avec ton comportement qui était d’ailleurs relativement bon, c’est pour te montrer ce qui pourrait t’arriver de pire. Si tu passes ces épreuves, cela signifiera que nous n’aurons aucun problème pendant quelques années. Je vais donc être moins stricte pendant la semaine pour te laisser te reposer.

  • Oui je comprends Maîtresse Claire.

  • Non, malheureusement tu ne comprends pas, tu ne peux pas comprendre. Tu souffriras vraiment, et je m’en excuse, mais je n’ai pas envie de m’engager dans une nouvelle relation sans être sûre de tes capacités. Je veux être sûre que cette fois, nous pourrons aller jusqu’où nous souhaiterons.

Comment ça une nouvelle relation, qu’est-ce qu’elle entend par là. J’aimerais le lui demander, mais je sais que ça ne me concerne pas et qu’elle ne va pas vouloir me répondre. Elle poursuit :

  • A tout moment tu pourras arrêter, mais cela signifiera la fin de notre aventure. J’espère vraiment que tu résisteras, comme je te l’ai dit j’ai déjà développé beaucoup de sentiments à ton égard. Ce soir, on sortira un peu se changer les idées.

  • Merci Maîtresse Claire, j’espère que vous serez fière de moi, que je pourrai devenir une soumise parfaite pour vous, à la hauteur de tous vos rêves.

Nous continuons à rouler une quinzaine de minutes avant d’arriver devant un grand centre commercial. Une fois sorties du véhicule, elle ajoute :

  • Tu vas m’aider à me choisir quelques nouvelles tenues, et peut-être quelque chose pour toi aussi.

  • Oui Maîtresse Claire, je vous remercie de partager ce moment avec moi.

Nous commençons par un magasin de chaussures. Elle propose assez rapidement que nous nous séparions pour chercher des paires qui pourraient lui plaire. Elle me précise de ne pas me préoccuper du prix dans la sélection et de la retrouver si je trouve des articles intéressants. Il y a vraiment des belles choses, mais je sais que certaines ne lui plairont pas. Après avoir trouvé quelques paires, je la retrouve assise en train de faire des essais avec une vendeuse à ses côtés. A peine me voit-elle qu’elle s’exclame tout en s’approchant de moi :

  • Ah chérie te voilà. Sophie, regardes celle-ci, comment tu les trouves ?

Une fois à mes côtés elle ajoute discrètement :

  • En public tu es ma petite-amie alors oublies le « Maîtresse » ici.

Est-ce que je dois continuer à la vouvoyer ou est-ce que je peux la tutoyer ? Je ne sais pas si je dois lui poser la question, ou si ce serait une erreur. Je réalise qu’il m’est de toute façon difficile de la tutoyer, cela sonne faux, je continue donc comme d’habitude :

  • Elles vous vont vraiment à merveille. Vous êtes très belle avec. Je vous ai aussi trouvé quelques paires qui pourraient vous intéresser.

  • Oui je les essaie tout de suite.

Elle retire la paire qu’elle était en train d’essayer et me regarde. Après quelques secondes, elle reprend :

  • Tu ne me les mets pas ?

  • Oui excusez-moi, je suis désolée.

La vendeuse nous regarde un peu surprise mais ne fait pas de cas. Je m’approche des pieds de ma maîtresse et lui mets délicatement chaque chaussure. Elle commence à faire quelques pas avec, de façon très élégante et séduisante. Lorsqu’elle revient, je lui fais essayer une paire de bottes. La vendeuse, moins gênée qu’il y a quelques minutes, me regarde avec un petit sourire en me voyant les lacer aux pieds de ma maîtresse. Après avoir essayer les paires que je lui ai ramenées, elle me dit :

  • Ok, je les prends toutes.

La vendeuse reprend la parole et ajoute :

  • Je peux vous déposer le tout à la caisse pour que vous ne soyez pas encombrée si vous souhaitez regarder autre chose Madame ? Je peux aussi vous montrer d’autres articles qui pourraient vous intéresser Madame.

  • Oui merci beaucoup. Chérie, continue aussi à chercher. Je t’attends ici.

Alors que je repars en quête de nouvelles chaussures pour ma maîtresse, je passe devant une paire d’escarpins à talons pour lesquelles j’ai un coup de foudre. Je regarde autour de moi, pas de maîtresse en vue, je me permets de m’arrêter et de les essayer. J’ai de la peine à marcher avec, elles me font mal aux pieds à cause de la finesse du talon et de sa taille, ainsi que l’absence de plateau. Mais elle me font rêver quand même. Je regarde le prix et je reviens vite à la réalité quand je découvre le petit autocollant indiquant 899€ sur la chaussure. Puisque je ne les aurai jamais, alors autant profiter de les garder encore quelques minutes ici.

Alors que je me regarde avec admiration dans un miroir, je vois ma maîtresse derrière moi me regarder avec un grand sourire :

  • Tu t’amuses bien ?

  • Je suis désolée Maîtresse Claire, je ne sais pas ce qui m’a pris.

  • Tu les veux ?

  • Je ne peux pas Maîtresse Claire, elles sont bien trop chères.

  • Je peux te les offrir si tu les aimes vraiment. Mais tu n’arrives déjà pas à marcher correctement avec tes bottes, avec celles-ci ce sera encore plus difficile.

  • J’espérai que vous pourriez m’apprendre Maîtresse Claire, vous êtes tellement élégante avec des hauts talons.

  • Quelle bonne vendeuse tu ferais, me complimenter pour me convaincre. C’est bon prends-les.

  • Vous êtes sûre Maîtresse Claire ?

  • Oui oui, c’est bon, tu peux les prendre.

  • Merci beaucoup Maîtresse Claire, vraiment, merci beaucoup !

J’ai envie de la prendre dans mes bras, mais bien que notre relation se construise depuis quelques semaines, je ne sais pas encore vraiment à quel point je peux sortir du rôle de la pure soumise. Nous rejoignons la vendeuse à la caisse, et ma maîtresse ajoute :

  • Il y a encore cette paire pour elle.

  • Oui très bien, elles sont très belles Madame.

Puis elle ajoute en me regardant :

  • Vous avez beaucoup de chance, je suis certaine qu’elles vont iront très bien Madame.

  • Merci beaucoup.

Je m’étouffe presque lorsque j’entends le total pour les cinq paires. 4340€. Quasiment 4500€ de chaussures en une soirée, c’est de la folie. Et la soirée n’est pas finie, à peine sorties du magasin de chaussures, elle me confie les clés de la voiture pour aller y ranger les achats et me demande de la rejoindre dans une autre boutique du centre commercial. Juste avant que je parte, elle ajoute, avec un grand sourire :

  • Quand nous serons dans des lieux publics non BDSM ou avec des personnes qui ne sont pas de ce monde, je te présenterai toujours comme ma petite-amie. Ne soit donc pas étonnée si je décide parfois de t’embrasser.

  • Merci Maîtresse Claire, ça me touche beaucoup. Et merci beaucoup pour la paire de chaussures, je ne sais pas comment vous remercier.

Une fois les articles déposés dans la voiture, alors que je suis en direction de la boutique de vêtements, je vois une femme assez jeune, début de vingtaine, assez fine, cheveux noirs, avec une amie à elle, l’air plus âgée. Cette dernière est à genoux au sol à ses côtés. Je souris en m’imaginant qu’elle aussi est soumise, qu’elle attache les lacets des baskets de sa maîtresse. Je me fais des idées, elle est probablement juste en train de ramasser quelque chose. J’essaie de ne pas trop regarder, et il y a plein de raisons qui feraient que quelqu’un attache les lacets de quelqu’un d’autre. Etre autant rêveuse me perdra un jour. Je regarde ailleurs jusqu’à arriver à leur niveau où j’ai l’impression, du coin de l’œil, qu’elle est maintenant en train d’embrasser les chaussures de son amie, ou de sa maîtresse. Je me retourne quelques secondes plus tard et je les vois toutes les deux marcher dans la direction opposée. Est-ce que j’ai rêvé ? Probablement. Je me fais des films. Cela sera peut-être moi un jour. Bien que j’aimerai être capable de tout pour maîtresse Claire, je ne pense pas un jour pouvoir me montrer en embrassant les chaussures de quelqu’un dans un lieu public comme ça. Surtout pour une maîtresse qui devait avoir la moitié de mon âge.

Je sors de mes rêves alors que je retrouve maîtresse Claire dans la boutique. On reprend le même principe, je pars à la recherche de choses qui lui plairaient. Je lui ramène quelques tenues et je m’apprête à lui demander si elle souhaite que je la rejoigne dans la cabine, mais je me souviens de sa consigne m’indiquant que je ne la verrai jamais nue. Pour chaque article, je le lui montre en-dehors de la cabine, elle rentre, le met et ressort me le montrer. Après quelques essayages, j’en arrive à lui montrer une magnifique robe noire. Elle la tend au bout des bras, la regarde et dit :

  • C’est vrai qu’elle est très belle.

Elle la tourne, remarque que c’est une robe dos nu et la jette dans la cabine en ajoutant :

  • J’ai plus envie de faire des achats. On s’en va, dépêche-toi !

  • Mais Maîtresse Claire, est-ce que j’ai fait quelque chose qui vous a mis en colère ?

  • Non c’est bon, j’ai plus envie de faire les boutiques, on n’aurait pas dû venir ici. On rentre.

Je n’ai rien compris à ce qui s’est passé. Durant le trajet elle a rien dit, elle n’a pas tourné la tête, ne m’a pas regardé un seul instant. Ses yeux sont un peu brillants, comme si elle était très énervée ou si elle allait pleurer, je ne sais pas, je ne comprends pas. J’essaie de lui demandé à plusieurs reprises si c’est quelque chose que j’ai fait ou dit, mais elle ne me répond même pas. Une fois sortie de la voiture à la maison, elle se dirige directement dans sa chambre et j’entends sa porte claquer.

Il a fallu une demi-heure pour qu’elle en sorte, demi-heure pendant laquelle je l’ai attendue à genou devant sa chambre. A peine sortie, elle me dit :

  • Je suis désolée pour avant, tu n’as rien à te reprocher, c’est entièrement de ma faute. N’en parlons plus.

  • Oui Maîtresse Claire.

  • Concernant les punitions dont je t’ai parlé avant notre sortie, cela ne sera en aucun cas influencé par cette soirée. Tu n’as vraiment rien à te reprocher. J’ai réparti le tout en cinq étapes, donc cinq week-ends. Je pense te faire commencer par les douleurs simples, brutes. C’est ce que tu vas subir au début, c’est ce qui te fera le plus mal je pense. Le week-end prochain, tu vas découvrir des douleurs plus spéciales. Ensuite tu devras souffrir un peu en public, mais encore une fois ce sera bien moins douloureux que ce week-end. Après ça, tu passeras un week-end plus fort psychologiquement que physiquement et finalement, comme dernier test, je te réserve une petite surprise. Si tu n’abandonnes pas ce week-end, je pense te connaître suffisamment pour savoir que le reste se passera très bien.

  • Oui Maîtresse Claire, je ferai de mon mieux.

  • Bon viens, je vais te préparer à la cave.

A suivre

Sophie

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